Un excellent drama vaudevillesque

Même s'il est vrai que je suis un inconditionnel de Jung So Min, mon jugement ne me semble pas obscurci en affirmant qu'on a affaire ici à un très très bon drama, lequel a beaucoup de similarités avec l'excellent Because This Is My First Life, autre drama avec Jung So Min avec pour trame de fond l'accession à la propriété et les difficultés de se loger en Corée. Sauf que Monthly Magazine Home est beaucoup plus drôle, plus fantaisiste, pouvant s'apparenter à un vaudeville avec des personnages hauts en couleur à l'instar de Kim Ji Seok en patron ambivalent et maladroit, la sémillante Chae Jung Ahn ou le burlesque Kim Won Hae, dont le personnage n'est pas sans rappeler son rôle dans le drama Chief Kim.

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Un drama convenu mais très solide

Si ce drama n'invente rien, il est, par contre, très bien scénarisé et réalisé. Alors, certes, les ficelles sont un peu grosses mais on ne pourra pas lui reprocher cela, puisqu'elles sont inhérentes au genre. De plus, je trouve que la multitude de rebondissements est amenée avec douceur et certaines interrogations des débuts trouvent leur explication "logiques" ou astucieuses dans les derniers épisodes. Certes, ce drama n'est pas dénué défauts, mais ils restent mineurs. Ce qui explique, aussi en partie, ma note est un dernier épisode particulièrement réussi, qui prend son temps, là où d'autres dramas ne savent pas éviter l'écueil du bâclage. Une mention toute particulière pour l'excellent jeu d'actrice de Jin Ji Hee.

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Un bon drama qui aurait pu être meilleur

Voici un bon drama fantastique dans l'ensemble, dans lequel Lee Se Young est, comme d'habitude, rayonnante. Joo Hyun Young y est pétillante et Bae In Hyuk y est attachant. Ce drama aurait peut-être mérité 16 plutôt que 12 épisodes en développant plus les histoires secondaires ? Car au final ce drama me laisse, malgré tout, un petit sentiment d'inachevé. Le derniers tiers m'a semblé bâclé, parfois inconsistant, à l'instar du dernier épisode qui m'a assez déçu. J'ai trouvé celui-ci assez superficiel et la toute fin m'a paru un peu trop facile, comme un cheveu sur la soupe.

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La lutte d'un "monstre" contre les humains

Night Light (White Nights en France) est un K-drama sur le monde impitoyable des affaires et, dans une moindre mesure du monde politique. C’est l’histoire d’une femme d’affaire très ambitieuse et impitoyable (Lee Yo Won) venue en Corée pour atteindre le « sommet ». Sur le chemin de son ascension, elle devra faire face, entre autres, à son amour de jeunesse (Jin Goo) bien décidé à ne pas se et la laisser faire et à une jeune femme (Uee) qu'elle prendra sous sa tutelle et dont l’aspiration sera vite de ressembler à son mentor et, à mon sens, l'intérêt essentiel de ce drama réside dans la relation très particulière des deux femmes.
Il s’agit d’un drama outrancier, où la cohérence est sacrifiée au profit de l’action. Car oui, ce drama multiplie à l’envie les facilités et raccourcis scénaristiques. On peut même dire que la mise en scène est souvent paresseuse. Exemples, parmi beaucoup d’autres, les scènes de filature sont proprement simplistes et ridicules. Mais peu me chaut tout ces défauts.
Le grand mérite de ce drama, à l’instar d’un Penthouse, War In Life, pour peu qu’on y adhère, est qu’il est terriblement efficace. En mettant de côté son esprit cartésien, on peut aisément se laisse transporter par les multiples rebondissements, les alliances et mésalliances qui ne font que changer au fil de la série.
Le trio Lee Yo Won, Uee et Jin Goo fonctionne à merveille avec chacun leurs forces, leurs faiblesses et leurs sentiments ambivalents les uns pour les autres. Si Uee est l’éclat de cette série, la véritable force motrice captivante de ce drama est véritablement Lee Yo Won dans son rôle de femme d’affaire tourmentée, insaisissable et particulièrement retors.
Alors, même s’il est loin d’être parfait, j’ai pris un très grand plaisir au visionnage de ce K-drama que je revisionnerai un jour, peut-être, mais avec plaisir, assurément.

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