Takumi-kun Series 3: The Beauty of Detail
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Beaucoup d'erreurs techniques (mais la nostalgie (encore))
Il est évident que cette série m'empêche d'être impartiale. Je ne cesse de regarder les films avec nostalgie - je me répète sur mes avis à ce sujet, mais je veux vraiment insister sur ce point. Je vois tous les défauts, mais dramavore depuis un siècle, je ne peux pas l'accuser ou le pointer du doigt comme je le fais avec des productions récentes. Je m'amuse sincèrement à les revoir et ça me replonge dans les souvenirs. Je ne me rappelle plus de comment je me sentais en les regardant la première fois, mais c'est un détail.Ce troisième film est celui qui connaît le plus d'erreurs techniques. La lumière est terrible. Sur un plan, nous avons une lumière naturelle et chaude et le plan suivant, c'est sombre et froid, puis on revient sur le premier plan etc. C'est difficile. La caméra est tremblante sur la majorité des scènes et les angles sont parfois étranges. Ce sont les principaux défauts que je retiens.
La relation entre Takumi et Gii n'est pas au beau fixe non plus. Gii agit de façon stupide et sans qu'il ne le réalise, les vieux démons de Takumi refont surface. Dernièrement, j'ai discuté avec Fan2Dramas sur cette série et nous étions d'accord sur la relation "dominant/dominé" qui s'est installée dès le second. On ressent vraiment cette direction dans le troisième - qui étonnamment, semble être le plus apprécié de la série. En revanche, l'OST était marquant - de mémoire, c'est celui qui me plaît le plus.
Malgré ses défauts, je ne cache pas que j'apprécie toujours mes revisionnages de cette série.
Eh?
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Takumi-kun Series 2: Rainbow Colored Glass
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De nouveaux visages pour ce nouveau volet
Ce deuxième volet aborde un thème plus sombre. On délaisse presque la romance (Takumi/Gii) pour concentrer notre attention sur Takeshi, joué par Yuta Takahashi. La maladie et la mort vont donner le ton à ce film, tout en essayant d'offrir une vision différente. Comme dit précédemment, malgré le thème abordé, la romance n'est pas entièrement effacée et va mettre à mal la relation entre Takumi et Gii. Pourtant, on va retrouver de nombreuses scènes longues/lentes et inutiles. On voit un réel manque de communication du couple Takumi/Gii (et quand on regarde le troisième volet, le problème n'est pas réglé).D'une certaine façon, c'était comme si personne n'avait vraiment tranché sur l'intrigue principale, vous voyez ? Les deux idées étaient bonnes alors elles se sont mélangées sans équilibre.
Ce volet est celui qui souffre le plus sur son ensemble. C'est amené avec beaucoup de maladresses.
Le nouveau casting n'est pas responsable. Bien que je regrette Tomo Yanagishita, on ne peut nier que Kyosuke Hamao reprend bien le flambeau de Takumi - mais l'écriture de son personnage fait grincer quelques dents, c'est vrai. Quant à Gii, c'est Daisuke Watanabe qui reprendra les traits - ce qui personnellement ne me dérange pas non plus. D'ailleurs, on peut noter que les deux acteurs possédaient une attraction légère, mais intéressante.
Encore une fois (et comme pour toute la série), à regarder avec un œil nostalgique. Parce qu'au final, même si j'ai quelques reproches à faire, la nostalgique l'a encore emporté (bien que la note soit légèrement salée, mais au-dessus de la moyenne malgré tout).
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Doux, franc et suffisant
Doux, réconfortant et mignon avec une émotion légère et subtile qui donne le sourire.Kim Hyeong Won et Jung Jae Won sont parfaits dans leurs rôles. Aussi attachants l'un que l'autre. On devine les questions muettes et les non-dits. Le premier épisode se concentre davantage sur Mingyu, tandis que le second s'axr sur Jaesung nous permettant ainsi de découvrir davantage de l'un et l'autre.
La photographie est simple, mais jolie. L'audio est bon, ainsi que les musiques discrètes. La douceur qui se dégage de ce court-métrage fait que la relation semble unique et précieuse.
C'est doux et honnête. Et personnellement, ça me suffit.
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La romance l'emporte sur l'e-sport, dommage !
J'étais assez confiante une fois les dix premiers épisodes passés. Cela dit, je ne m'attendais pas à ce que l'univers e-sport soit effacé pour laisser place à la romance. Bien qu'on ne s'éloigne jamais de la scène e-sport, la romance va prendre de plus en plus de place donnant ainsi l'impression de parfois avoir affaire à un tranche de vie.Cheng Xiao n'a que deux expressions à son actif : neutre et narquois. Son manque d'émotions ne permet pas de s'attacher à elle, au contraire, c'est l'effet inverse qui se produit. Elle apparaît comme une fille avec un sacré ego, ce qui ne joue pas en sa faveur. C'est une belle fille, oui, mais elle ne transmet rien. Sa meilleure amie est plus expressive qu'elle. C'est un bon personnage, mais qui se retrouve gâché à cause d'une mauvaise interprétation.
En revanche, Xu Kai s'impose sans problème. Si dans ses précédents projets il avait tenu ses rôles sans pour autant marquer les esprits, il inverse la tendance en tant que capitaine. Il porte son rôle comme une seconde peau, bien que de taquin il passe à nounours mielleux avec sa partenaire. Encore une fois, la romance impacte quasiment tous les aspects de l'histoire.
Concernant la scène e-sport, c'est une compétition féroce. Le problème de Falling Into Your Smile c'est qu'ils ont centré l'intrigue sur un seul élément perturbateur : l'arrivée de Tong Ya dans une équipe. Soit une fille dans un milieu essentiellement masculin. C'est dommage parce qu'il existe tant de possibilités, notamment en Chine où de nombreux joueurs pro ont de sacrés casseroles et de quoi inspirer.
La BO était très bonne. Mention spéciale pour Everytime des WayV et le titre des Seventeen.
L'animation vidéoludique était formidable et de toute beauté.
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Mignonnerie d'une soirée sans prétentions
Kiss Goblin est le drama fantastique plutôt sympathique pour une fin de week-end sans prises de tête.On suit Bansuk, un gobelin qui souhaite devenir humain. Pour y parvenir, il doit embrasser dix personnes. Mais pas n'importe lesquelles. Ces personnes sont choisies par la Reine des Gobelins. Chaque baiser débloque une émotion humaine venant contrebalancer le caractère distant et plat de Bansuk. Ainsi, au fil des épisode Bansuk découvre la tristesse, la colère, la peur, la jalousie...
Au cours de ses embrassades à la volée, le gobelin fait la rencontre de Oh Yeon Ah. S'ils prennent un mauvais départ, Oh Yeon Ah va finir par venir en aide au gobelin, le protégeant d'un exorciste (incarné par Jang Eui Su).
L'histoire suit tranquillement son cours et ne s'écarte pas du sentier. Malgré tout, cela reste une bonne balade pour une fin de soirée avec un format assez cours et regardable en une fois.
Cependant, on pourra reprocher le manque d'interaction entre l'opposition même du Gobelin et de l'Exorciste.
Bref, court et sympathique et regardable en une soirée.
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Comme un petit bonbon plein de douceurs
J'ai appris une leçon au fil de mes aventures dramalesque : regarder les romances modernes chinoises lorsqu'elles sont terminées (ou presque) surtout si le synopsis ne me fait pas de grandes promesses ou ne tire pas son épingle du jeu (oui, on peut dire que je ne regarde les romances chinoises qu'après diffusion). Si je pouvais avoir autant de retenue lorsqu'il s'agit de drames historiques... *soupire* De plus, Our Secret ne possède que 24 épisodes ce qui est plus que raisonnable pour la romance chinoise qui est habituée au format des 40 épisodes si ce n'est plus.On démarre avec Ding Xian a l'université avant de repartir en arrière, au collège. Ainsi, on découvre comment Zhou Si Yue et Dong Xian se sont rencontrés, pourquoi ils ne s'appréciaient pas et comment ils sont tombés amoureux. De fil en aiguille on nous montre tout et peut-être qu'on nous en montre un peu trop sur la période collège/lycée. Le public visé est clairement adolescent et je n'en suis plus une. Est-ce que c'était complètement ennuyeux pour autant ? Pas du tout. J'ai vraiment apprécié ce moment. Comme dit plus haut, c'est une vraie douceur.
On est sur relation (très) lente. Sur 24 épisodes, ils commencent à se fréquenter qu'à partir de l'épisode 21. La partie collège/lycée étant vraiment longue, ils ne deviennent un couple que très tard dans la série. Les plus impatients auront peut-être du mal. Tout comme les plus amateurs de peau. Quelques baisers très brefs (mais mignons). Il est évident que le scénario est plus axé sur les interactions avec quelques douceurs, mais sans jamais franchir la limite.
Les acteurs sont bons. Chen Zhe Yuan possède "ce" truc qui lui permet de dégager une aura différence de tous les autres ML de drame similaire. Quant à Xu Meng Jie (ou Rainbow Xu), on sent qu'elle a moins d'expérience, mais elle s'en sort bien. Cependant, sa voix boudeuse pourra de temps en temps irriter plus qu'autre chose. Les personnages secondaires sont également superbes avec une belle amitié entre tous.
En réalité, y'a pas grand chose à dire. Pour moi, le drame offre de la douceur, de la niaiserie (oui, j'ai de temps en temps fais mon petit bruit de bestiole heureuse). Our Secret était comme mon petit bonbon du soir. Parfois, certains drames sonnent comme si vous alliez tout détester. Mais pour une raison inconnue, ils donnent juste une sensation confortable et dans lequel on aime se perdre.
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Cependant, sans Xu Zheng Xi en tête d'affiche, je n'aurai pas autant persévéré - oui, il était un de mes principaux arguments pour continuer le visionnage. Les premiers épisodes sont chaotiques au point qu'on ne sait tout simplement pas quel portrait le réalisateur souhaite lui donner. Avec son regard de méchant complotiste, mêlé à son regard de braise, qui est-il ? Fort heureusement, une fois les premiers épisodes passés, on commence à comprendre le personnage. Je n'ai pas besoin de m'étaler sur l'acteur. Il avait éclipsé le duo principal dans Legend of Dugu et c'était un immense plaisir de le retrouver en personnage principal ici. Il tient son rôle jusqu'au bout.
En revanche, He Hong Shan donnera parfois (souvent) l'impression de manquer d'expérience aux côtés de Xu Zheng Xi. J'ignore si cela est à cause de son personnage ou de l'actrice elle-même (je n'ai pas le souvenir de l'avoir vu ailleurs et si c'est le cas, elle ne m'aura pas marqué). Son personnage est intelligent, mais souffre d'une très grande immaturité ce qui donne l'impression d'avoir un personnage écrit par deux personnes différentes. Les choses ne collent pas et elle peut sembler indigner de ses titres (consort etc.) à cause de cela.
Mention particulière à Cao Xi Wen qui était incroyable dans son rôle. Belle comme une impératrice (et oui) et franchement captivante à suivre. Idem pour Wayne Lai qui aura tenu bon jusqu'au bout.
Côté histoire, on reste sur les mêmes intrigues : des complots. Cependant, la politique prend une énorme place - si vous avez une aversion pour ça, vous n'aimerez sûrement pas. C'était assez entraînant bien que de temps en temps on pique du nez (mais j'imagine qu'enchaîner les épisodes n'est pas non plus la meilleure chose à faire). Autrement, l'histoire est simple et se révèle bien amenée et tournée.
Pour parler rapidement de la romance et de la fin. La romance est torturée, mais sans raison. On fait souffrir les personnages dans l'unique but de leur en faire baver. Par contre, on ne pourra qu'admirer la fidélité des personnages. Leur amour était puissant et malgré les barrières, ils n'ont jamais cessé de s'aimer. Encore une fois, le seul reproche est qu'il n'y avait pas vraiment de but concret en les faisant souffrir. Quant à la fin. Elle est satisfaisante dans ses grandes lignes, mais extrêmement décevante sur la façon dont elle est amenée et montrée. Les choses arrivent juste comme ça et... Point final. J'ai eu l'impression de me faire avoir par le scénariste sur ce point, mais bon. D'une certaine façon, cela fini mieux que d'autres drames ou c'est portes ouvertes à volonté.
Sur des drames de 25 épisodes, cela ne me gêne pas de donner autant de temps. En revanche, une fois le cap des 25 passé, c'est plus compliqué - surtout si la diffusion est terminée. Bien que le drame rencontre pas mal de défauts en cours de route, j'ai aimé mon moment et je me suis rappelé que Xu Zheng Xi est brillant dans les drames historiques.
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Rendez-vous directement à HIStory5, ne passez pas par la case HIStory4...
Par contre, quelques gars de ce drama devraient passer par la case prison. Meng Shao Fei se ferait sûrement un plaisir de les y envoyer... Bref !J'ai conscience de perdre mon temps avec cette critique. Quand on voit les notes sur MDL et les retours de certaines personnes, les gens ne sont pas frais ou ignorants dans le meilleur des cas. Mais je refuse d'ignorer la merde malsaine qu'est H4 et je ne vais pas perdre mon temps à faire de jolies phrases afin de ne pas heurter la délicate sensibilité de certaines personnes. Désolée par avance si vous avez passé une journée minable et qu'en plus vous lisez ceci.
Alors ! La licence HIStory n'est pas ma préférée, H4 est le pire BL (Addicted n'est pas loin derrière (tiens donc)). Il obtient cette note, car les notes négatives ne sont pas possibles. Dommage. Qu'est-ce qui ne va pas avec H4 ?
Tout d'abord, le fan-service de l'enfer. C'est une pratique qui n'est pas très populaire en France. En réalité, ce n'est même pas apprécié. Lovely Writer avait abordé le sujet dans un angle intéressant, mais ici, c'est tellement malaisant. On suit une personne qui dépasse complètement les limites morales afin de satisfaire son fantasme infondé. C'est de la folie.
On peut aussi parler du stalking qui n'est ni "trop beau" ni 'trop romantique" ni "trop normal". Est-ce que les gens confondent entre regarder ce que fait son crush et traquer chaque fait et geste d'une personne ? Ce qui est amusant (lol), c'est qu'une grande partie des personnes qui défendent cette pratique ici, iront demain hurler au harcèlement si c'est un gars qui se comporte ainsi avec sa copine dans une série US. Hé ! Ce n'est pas parce que ce sont deux hommes que tout est permis.
Ai-je vraiment besoin de parler de l'alcool ? C'est l'excuse de tous les mots et faits toxiques dans un drama - et pas seulement H4 pour le coup. On y a droit à chaque fois parce que c'est l'excuse parfaite pour des actes/mots mal intentionnés ou déplacés. C'est le rebondissement idéal pour les prises de conscience par les personnages. À croire qu'aujourd'hui pour être entier et honnête, il faut avoir de l'alcool dans le sang.
Et le pire ! Viol et tentative de viol. Pardon ?
Qu'on soit bien clair, que ce soit fictif ou non (d'ailleurs le disque du "c'est fictif" faut arrêter, hein), le viol ne devrait jamais être accepté ou normalisé. Cela devrait encore moins devenir une excuse pour se rapprocher de quelqu'un et encore moins aboutir à une relation. Faut vraiment pas être net pour tolérer ce genre de merde.
Je trouve ça tellement ahurissant de lire des commentaires sur le fait qu'on devrait ignorer certaines parties de l'intrigue (aka le gars qui force un autre gars) sous prétexte que l'autre couple est bon. Ou de comparer un couple toxique avec une agression sexuelle. Réveillez-vous !
Je voulais aussi répondre à certains propos comme quoi c'est écrit "par des femmes hétéros". Eh, c'est bon ! H4 est une merde, que tu sois H/F/X.
Je ne comprends pas comment il est possible de valider un scénario comme celui-ci quand on sait que certains viennent s'offusquer pour des broutilles. Je comprends encore moins les acteurs qui ont signé pour tourner ceci. H4 c'est une production immorale et irrespectueuses envers toutes les personnes représentées dans ce drama, dont le spectateur qui voit une licence être bousillée par des fantasmes tordus, immoraux et illégaux.
A quel putain de moment sommes-nous tombés si bas pour tolérer cette merde ?
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Ambiance poétique au crépuscule
C'est un joli moment avec ces ambiances propres aux J-Dramas. Malgré une narration parfois trop lente, les personnages sont attachants avec des évolutions intéressantes (quoique facile pour l'une d'entre elles) ainsi qu'une mignonne BO.Le jeu d'acteur est bon dans son ensemble avec des personnages aux traits clichés pour certains (on ne change pas une recette qui fonctionne, je présume), mais gênants pour autant.
Soramame peut sembler à la limite du désagréable sur le premier épisode, mais il s'agit seulement d'une façon de contrer sa tristesse. Une fois qu'elle se sent en sécurité, elle révèle un caractère vif et attachant. Suzu Hirose livre une jolie performance aux émotions prenantes sans besoin de surjouer ou d'abuser des larmes.
Oto est en partie son contraire. Beaucoup plus calme de caractère et plus silencieux, il va rapidement devenir l'épaule sur laquelle Soramame va s'appuyer lorsque tout va bien, mais aussi lorsque ça ne va pas. Ren Nagase incarne à la fois la sagesse et la bienveillance, mais lors des scènes où son émotion est palpable sont les meilleures.
Difficile de ne pas mentionner Kyoko, une grand-mère / propriétaire unique en son genre. Mari Natsuki donne une femme qu'on adore immédiatement derrière ses tenues originales et son caractère vivant.
Le reste du casting est bon.
Les facilités scénaristiques sont de la partie. Notamment sur la raison originale de pourquoi Soramame est-elle si douée pour la mode. C'était prévisible. De même pour certains problèmes qu'elle rencontre. De ce fait, son évolution professionnelle n'est pas une nouveauté et se révèle plutôt facile.
Malgré tout, voir Soramame et Oto se soutenir mutuellement dans leurs rêves respectifs est la plus jolie partie de ce drama. Chacun devient le soutien de l'autre et peu importe si ça fait mal à la fin, ils refusent d'être égoïste et d'empêcher l'autre d'accomplir son rêve.
La narration est lente - et trop rapide sur son final. Si vous attendez de la romance pure, vous serez déçu.e.s. L'amour plane autour d'eux, c'est évident. Mais comme beaucoup de J-Dramas, c'est avec subtilité où les jeux de regards et les gestes seront plus importants.
Bref, Hold My Hand at Twilight est un doux moment avec des personnages attachants et à l'ambiance poétique unique des dramas japonais.
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Les fleurs n'ont pas eu le temps de fleurir
Et bien... Our Blooming Youth avait tout pour être un merveilleux bouquet. Un bon et joli casting ainsi qu'une intrigue jonglant entre malédictions, meurtres et romance dans l'ère Joseon. Malheureusement, les fleurs ne fleuriront pas.Le premier épisode est bon. Il met en place les personnages et les situations auxquelles nous allons être confrontés. C'était une bonne façon de nous projeter les grandes lignes. Il suffisait ensuite de relier tout ça avec des personnages, des actions et... ah ! Pas vraiment, en fin de compte.
Les personnages sont moyennement intéressants. Park Hyung Sik amène une image sympathique au Prince héritier avec un caractère sensiblement différent. Cependant, il n'est pas non plus le plus mémorable qu'on puisse avoir, son personnage manque cruellement de développement.
Jeon So Nee compose son personnage (Min Jae Yi) de façon désinvolte, si bien qu'elle devient ennuyeuse entre deux répliques. Déguisée en homme ou dans sa propre peau de femme, elle reste peu engageante.
Si on sent une franche solidarité entre femmes (notamment entre Min Jae Yi et Jang Ga Ram (incarnée par Pyo Ye Jin)) ainsi que quelques ondes de modernité, cela ne suffit pas.
L'action manque. On préfère nous la raconter. Pourquoi ? On préfère aussi nous relater des conversations plutôt que d'assister à la réelle conversation. Pourquoi, encore une fois ? Quel est l'intérêt ?
Sur le papier, Our Blooming Youth avait un incroyable potentiel (avec son lot de complot politique, cela va de soit). Mais au final ce n'est jamais devenu palpitant tant sur son intrigue que sur ses personnages.
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La vengeance aux traits de Song Jong Ki (et un drama qui ne plaira pas à tout le monde)
Il faut le savoir, c'est un drama qui ne plaira pas à tout le monde. On parle d'économie, de finance et de vie politique.J'ai aimé ce drama pour son ambiance à la fois vengeresse, justicière et passionnée. Lorsqu'on voir les personnages s'emballer sur des idées et propositions, des débats intenses ou de sombres manigances, c'est explosif.
D'autant plus quans vous avez connaissance des futurs évènements à venir après un retour dans le passé. Il utilise ses connaissances et change donc l'espace-temps, mais cela n'impacte pas l'intrigue, car ce n'est pas son but. Le voyage dans le temps n'est pas important, la raison en revanche l'est.
Le casting est de haute volée. Mais ceux qu'on retiendra n'est autre que Song Joon Ki et Lee Seung Min. Voir leur relation prendre vie et s'animer au fil des épisodes était incroyable. Cette constante balance entre chien et chat puis grand-père et petit-fils était magifique.
La fin reste la seule réelle note amère de Reborn Rich. En revanche, en se concentrant sur les motivations de Hyeon Woo dans la peau de Do Joon, les choses s'emboîtent et il est plus intéressant de se concentrer sur ce point.
En fin de compte, si vous n'accrochez pas tout de suite, il y a peu de chance que vous puissiez apprécier le drama dans sa globalité. Pour ma part, j'étais dedans avec son intrigue incroyable et notamment son casting qui est ce qui donne cette force brute à Reborn Rich.
C'est une histoire de revanche sur un groupe surpuissant. C'est aussi une repentance. Et peut-être l'envie de renaître riche aussi.
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Les combats sont incroyables et surtout, ils ne lésinent pas dessus. Les scènes sont longues et évolutives. Nos héros reçoivent autant qu'ils donnent. On ne change pas soudainement de scènes pour y revenir plus tard et découvrir que le combat s'est achevé par magie. Au contraire ! Tu veux de la baston ? Tu en as !
Le slow-motion est sensationnel. Et j'insiste sur le mot, sensationnel. Ce n'est pas la première fois que je me fais la réflexion, le cinéma asiatique maîtrise clairement cette technique. Et lors des scènes de combat, autant dire qu'il est utilisé avec soin et ça fonctionne.
Le reste du film est très bon. Les costumes sont de bonnes factures, tout comme les décors et les CGI. De temps à autre, j'ai eu l'impression de voir du District 9 (film de 2009) ou sur les tenues/costumes/mécaniques de voir quelques clins d'œil au jeu Death Stranding (sorti en 2019).
Son défaut ? L'image. Malheureusement, on se retrouve avec l'impression que le film est en bas débit. Ainsi, la qualité de l'image n'est pas aussi spectaculaire que prévu. Si vous souhaitez chipoter, on pourra également dire que le scénario est assez classique. Mais encore une fois, je préfère un scénario simple et correct que complexe et mauvais.
Malgré son image, le cinéma sino-hongkongais n'a pas à rougir. Bien que Warrior of Future ne casse pas les codes du genre, il possède des bases solides sur lesquelles il est plaisant de s'attarder.
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Romance sur piste glacée
To Fly With You ne vient pas révolutionner le genre. D'ailleurs, sa trame peut faire penser à Skate into Love. Cela dit, il reste un drama entraînant malgré quelques longueurs.La partie sportive apporte une matière au drama, tandis que la romance sert plus pour amener le côté mignon. Cette dernière est jolie. Pour ma part, la partie sport est celle qui avait tout mon intérêt. Cela dit, si vous ne voulez que de la romance, ce n'est peut-être pas le drama idéal pour ça.
En revanche, il est dommage de voir qu'encore une fois les stylistes semblent cultiver un mépris envers les personnages féminins. On peut très bien s'habiller de façon sportive et être élégante. Cela ne semble pas être l'avis des stylistes qui offrent des tenues peu flatteuses (tant sportives que dans la vie de tous les jours) aux personnages féminins.
Mention spéciale à la BO qui s'avère dynamique et prenante. Il est rare que la musique soit mauvaise dans les dramas sportifs - dont ceux traitant de l'esport.
En bref, c'est un joli drama sportif avec sa pointe de romance et un casting agréable.
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Pour l'amour du sport
Petit drama d'à peine 4 épisodes, mais se révèle plus entraînant que prévu.On suit Zhang Jian Ji, un lycéen de 16 ans atteint du syndrome de Marfan (une maladie génétique rare). De plus, son coeur ne peut pas dépasser 100 battements par minutes et pourtant, il lui est impossible de rester loin des terrains de basket.
C'est un drama qui semble sous-estimé pour une raison que j'ignore. Sa plus grande force est son esprit d'équipe. Le sport possède de belles valeurs et elles sont joliment utilisées dans Fly the Jumper. Au milieu se profile une petite romance. Et puis on retrouve également Zack Fan Chiang (WBL) en grincheux sympathique qui vaut le détour.
Bref, un petit drama qui prend à peine une petite heure de votre temps, mais reste suffisant.
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Une amitié (bromance) qui dure...
Guardian connaît un bon casting avec de bonnes intrigues (quoiqu'un peu trop nombreuses).Il n'échappera à personne, le duo formé par Zhao Yun Lan, le responsable des enquêtes spéciales et Shen Wei (incarnant aussi BCE et YZ), un professeur d'université en génie biologique. Deux caractères opposés. Le premier qui n'a pas sa langue dans sa poche et extraverti, le second discret et introverti.
Mais derrière cette mauvaise entente passagère, on y découvre une amitié vieille de 10.000 ans.
Clairement vendue comme une bromance, l'idée fonctionne au travers des jeux de regards ou de quelques phrases subtilement glissées ici et là. Le duo ne cesse d'évoluer tant ensemble qu'individuellement.
Cependant, Guardian connaît beaucoup de longueurs avec des épisodes qui traînent et semblent sans fin. On note aussi des trous scénaristiques ainsi qu'une multitudes de sous-intrigues ayant peu d'intérêt.
Les décors ne sont pas des plus ravissants et donnent clairement cette impression de ship. Quant aux effets spéciaux, ce n'est pas non plus un argument de vente.
Quoiqu'il en soit, Guardian offre des personnages charismatiques et pour lesquels on aime passer du temps à découvrir. Malgré ses sous-intrigues brouillonnes et inutiles, on ne peut qu'admirer l'aisance de Zhu Yi Long qui tient ses trois rôles avec brio.
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