Pause café
J'aime le café ! Alors un drama adapté d'un manga sur ce thème principal ne pouvait que me faire titiller les narines. En rôle principal Nakamura Tomoya, au sourire ravageur et toujours aussi fin gourmet. On peut dire que les producteurs ont mis le paquet pour séduire la Working Girl trentenaire et célibataire. Et pour cause, tirée d'un Josei Manga, genre encore peu connu en France, cette histoire est destinée en particulier à la gent féminine urbaine de cette tranche d'âge, fortement célibataire et indépendante. Le premier épisode ne trompe pas. Nakamura Tomoya s'installe avec son minuscule Foodtruck sur le parvis des grands bureaux de Tokyo ou Yokohama accueillant à l'heure de la pause les offices lady au caractère les plus divers.
Assez Cheap dans la production, on retrouve l'ambiance surannée de Gourmet détective et des clichés que les Japonais adorent tant envers la bouffe occidentale et tellement Rome -Antique. Ici, c'est le café, préparé avec lenteur et classe qui fera fantasmer les papilles du spectateur.
Chaque épisode est scindé en 2 histoires de 20 min accueillant de nouveaux protagonistes à chaque fois. Le fait d'être un ambulant favorisant ce scénario. En regardant le 1er épisode on peut donc imaginer vite se lasser de ce genre de non-événement. L'héroine, power-harassée par son patron, la trouvant désuète dans son travail de secrétaire, mais trouvant réconfort auprès de Nakamura, plus désuet que lui tu meurs. Mais plusieurs indices montrent que l'histoire peut prendre de la consistance rapidement. Même s'ils sont très mal distillé (un peu lourd, dirons-nous).
Beaucoup moins rose qu'il n'y paraît le monde de Nakamura devient bien sombre au fil des épisodes. Une véritable dark story nous faisant sortir totalement de la zone de confort ouateuse mise en place émerge au bout du 3e. Voilà pourquoi il ne faut pas se priver de gouter à ses délicieuses préparations sous prétexte d'un genre littéraire réservé aux secrétaires en mal d'évasion.
Un autre atout de la série, c'est son casting, qui ne met pas seulement en avant le plus beau sourire de la Tokyo TV, mais rassemble autour d'une bonne tasse de café la crème des acteurs de la télévision japonaise. J'en dévoile pas plus, mais quel bonheur de retrouver Adachi Rika ou Kanjiya Shihori rien que dans le premier épisode. Kaho par contre qui tient le rôle féminin phare manque un peu de prestance, mais elle peut encore prendre de la consistance au fil des épisodes. Une fois de plus la performance de Takito Kenichi vous enchantera ou vous agacera, à condition d'arriver à la reconnaître.
Voyager dans les rues de Tokyo grâce au van de notre Jacques Vabre est aussi un bonheur pour le petit français de province à qui marcher dans ses rues manque tellement. Une musique ultra répétitive de style reggae semble à tout moment vouloir rappelé d'où vient le café et pourra donc irriter. Mais elle ne vous sortira plus de ma tête au bout de deux épisodes, alors pourquoi bouder son plaisir.
Assez Cheap dans la production, on retrouve l'ambiance surannée de Gourmet détective et des clichés que les Japonais adorent tant envers la bouffe occidentale et tellement Rome -Antique. Ici, c'est le café, préparé avec lenteur et classe qui fera fantasmer les papilles du spectateur.
Chaque épisode est scindé en 2 histoires de 20 min accueillant de nouveaux protagonistes à chaque fois. Le fait d'être un ambulant favorisant ce scénario. En regardant le 1er épisode on peut donc imaginer vite se lasser de ce genre de non-événement. L'héroine, power-harassée par son patron, la trouvant désuète dans son travail de secrétaire, mais trouvant réconfort auprès de Nakamura, plus désuet que lui tu meurs. Mais plusieurs indices montrent que l'histoire peut prendre de la consistance rapidement. Même s'ils sont très mal distillé (un peu lourd, dirons-nous).
Beaucoup moins rose qu'il n'y paraît le monde de Nakamura devient bien sombre au fil des épisodes. Une véritable dark story nous faisant sortir totalement de la zone de confort ouateuse mise en place émerge au bout du 3e. Voilà pourquoi il ne faut pas se priver de gouter à ses délicieuses préparations sous prétexte d'un genre littéraire réservé aux secrétaires en mal d'évasion.
Un autre atout de la série, c'est son casting, qui ne met pas seulement en avant le plus beau sourire de la Tokyo TV, mais rassemble autour d'une bonne tasse de café la crème des acteurs de la télévision japonaise. J'en dévoile pas plus, mais quel bonheur de retrouver Adachi Rika ou Kanjiya Shihori rien que dans le premier épisode. Kaho par contre qui tient le rôle féminin phare manque un peu de prestance, mais elle peut encore prendre de la consistance au fil des épisodes. Une fois de plus la performance de Takito Kenichi vous enchantera ou vous agacera, à condition d'arriver à la reconnaître.
Voyager dans les rues de Tokyo grâce au van de notre Jacques Vabre est aussi un bonheur pour le petit français de province à qui marcher dans ses rues manque tellement. Une musique ultra répétitive de style reggae semble à tout moment vouloir rappelé d'où vient le café et pourra donc irriter. Mais elle ne vous sortira plus de ma tête au bout de deux épisodes, alors pourquoi bouder son plaisir.
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