30 millions d'héritage
Une histoire d'héritage, une disparition mystérieuse, une femme fatale surgit de nul part et ... un vétérinaire obsédé par la gent féminine qui aligne les râteaux comme un chien les puces sur son dos. Voilà les ingrédients explosifs d'un drama à énigmes comme je les aime. Réalisation impeccable, casting d'enfer. On retrouve avec plaisir Yoshitaka Yuriko méconnaissable dans son rôle de jeune épouse trop mignonne, à des kilomètres de son personnage de trentenaire dégouté des hommes dans Tokyo Tarareba Musume.
Kiken na Venus est un vrai polar à la Agatha Christie où l'on découvre avec crainte ou surprise, à chaque épisode, les personnalités des membres de la belle famille de notre véto. Si la mise en scène des premières minutes peut faire sourire, notamment lors de la présentation de cette riche famille un peu trop cliché, dans la méchanceté, la déférence filiale ou la raideur dans ce manoir et cette ambiance complètement hors sujet, au Japon, en 2020, très vite chaque second rôle révèle des personnalités multiples.
Fujioka Dean a comme toujours la grande classe. Sauf au début, quand il fait son fils fils à sa maman. ll m'a fait peur d'ailleurs, j'ai cru qu'il ne savait plus jouer. Il tient, avec les deux acteurs principaux, à bout de bras la série et l'emmène vers l'une des meilleures du genre.
Tsumabuki Satoshi, que l'on voit trop rarement dans un drama (très prolifique au cinéma par contre), excelle dans ce rôle de vétérinaire trop maladroit avec les femmes. Un personnage que Tsukasa Hōjō (le créateur de City Hunter et Cats Eyes ) n'aurait pas répudié. Les récurrences sur ses rêves éveillés font toujours sourire et deviennent une énigme dans l'énigme pour le spectateur. Plus généralement trouver le vrai du faux dans cette série est un véritable plaisir et on se met à chaque fois à la place de notre ami des bêtes à se demander si on peut faire confiance à cette personne, en commençant par notre mystérieuse vénus qui décidément cache encore bien des secrets.
Kiken na Venus est un vrai polar à la Agatha Christie où l'on découvre avec crainte ou surprise, à chaque épisode, les personnalités des membres de la belle famille de notre véto. Si la mise en scène des premières minutes peut faire sourire, notamment lors de la présentation de cette riche famille un peu trop cliché, dans la méchanceté, la déférence filiale ou la raideur dans ce manoir et cette ambiance complètement hors sujet, au Japon, en 2020, très vite chaque second rôle révèle des personnalités multiples.
Fujioka Dean a comme toujours la grande classe. Sauf au début, quand il fait son fils fils à sa maman. ll m'a fait peur d'ailleurs, j'ai cru qu'il ne savait plus jouer. Il tient, avec les deux acteurs principaux, à bout de bras la série et l'emmène vers l'une des meilleures du genre.
Tsumabuki Satoshi, que l'on voit trop rarement dans un drama (très prolifique au cinéma par contre), excelle dans ce rôle de vétérinaire trop maladroit avec les femmes. Un personnage que Tsukasa Hōjō (le créateur de City Hunter et Cats Eyes ) n'aurait pas répudié. Les récurrences sur ses rêves éveillés font toujours sourire et deviennent une énigme dans l'énigme pour le spectateur. Plus généralement trouver le vrai du faux dans cette série est un véritable plaisir et on se met à chaque fois à la place de notre ami des bêtes à se demander si on peut faire confiance à cette personne, en commençant par notre mystérieuse vénus qui décidément cache encore bien des secrets.
Esta resenha foi útil para você?