Esta resenha pode conter spoilers
Loin d'être un chef-d'œuvre
Sotus n’est pas une mauvaise série BL. Loin de là. Cependant, je n’arrive pas à comprendre l’engouement qui l’entoure étant donné que ce n’est pas non plus un chef-d’œuvre.
Si j’avais aimé le concept de bizutage dans la première saison, cette fois, cette pratique est mise en second plan. Deux ans se sont écoulés depuis le début de la relation entre Kong (Singto Prachaya) et Arthit (Krist Perawat) et maintenant, Arthit a rejoint le marché du travail. Ce changement a ses points forts, mais l’histoire au cours des premiers épisodes est redondante. Il se fait utiliser par un employé plus ancien, il n’a presque aucun lien avec son petit ami… bref, ce n'est pas mal au début, sauf qu’on s’ennuie rapidement. Du moins, selon mes goûts.
La relation entre Kong et Arthit n’a pas évolué d’un poil. Il y a une puissante atmosphère de malaise qui plane au-dessus de leur tête. Chaque fois qu’ils sont seuls, leurs dialogues sont platoniques, sans intérêt. Oui, ils sont parfois drôles, mais ces moments sont si rares que c’est impossible de s’attacher. Pas de câlins, pas de bisous, pas d’affection. On dirait un jeune couple encore gêné dans ses débuts, pourtant, après deux ans, les choses devraient être différentes! Je n’ai ressenti aucune chimie avant l’arrivée de l’épisode huit. D’ailleurs, qui n’a jamais vu une photo de son beau-père après tant de temps? Arthit ne connait même pas le nom de l’entreprise familiale de Kong. Heureusement que vers la fin, ça s’est amélioré.
Je vais peut-être me faire juger, mais j’ai trouvé le personnage de Kong TRÈS ennuyant. Soyons honnête, si l’acteur qui l’interprète n’était pas le très aimé Singto, est-ce que les fans l’aimeraient autant? Il n’a aucun trait de caractère original, aucune personnalité. Oui, c’est un bon gars. Et alors? Qu’est-ce qu’il y a d’autre? Arthit, de son côté, est très bien développé même si souvent, ses choix font grimacer. Il ne connait pas la signification du mot « communication ».
J’ai vraiment aimé l’histoire de Tew (Oaujun Korn) et Day (Fiat Patchata). Même si on ne les voit pas beaucoup, j’ai trouvé que c’était un ajout intéressant, car le personnage de Day est unique. Tout au long, l’on se demande ce qui s’est passé pour qu’il déteste à ce point les initiations. Je m’attendais à une explication poignante, originale, mais finalement, c’était d’une grande banalité. Quelle déception ! J’ai l’impression que ce duo a été mis de côté et finalement, ils n’ont aucun dénouement.
Mon « couple » favori a été celui de Yong (Guy Sivakorn) et Nai (Nammon Krittanai). J’ai trouvé leur développement très intéressant et Nai est le personnage auquel je me suis le plus attaché. J’ai aimé sa curiosité et sa façon de toucher à tout ce qu’il voit. Encore une fois, ils n’ont eu aucune fin et les spectateurs restent dans le néant quant à leur relation.
C’est quoi l’idée de développer des romances secondaires qu’ils ne finalisent pas ?! Même dans l’épisode de Our Skyy, on n’entend plus parler d’eux. C’est tellement décevant.
Bref, ce n’est pas mauvais comme série, mais pas génial. Je suis loin de regretter de l’avoir regardée. Est-ce que ça mérite d’être considéré comme un incontournable? Je ne crois pas.
Si j’avais aimé le concept de bizutage dans la première saison, cette fois, cette pratique est mise en second plan. Deux ans se sont écoulés depuis le début de la relation entre Kong (Singto Prachaya) et Arthit (Krist Perawat) et maintenant, Arthit a rejoint le marché du travail. Ce changement a ses points forts, mais l’histoire au cours des premiers épisodes est redondante. Il se fait utiliser par un employé plus ancien, il n’a presque aucun lien avec son petit ami… bref, ce n'est pas mal au début, sauf qu’on s’ennuie rapidement. Du moins, selon mes goûts.
La relation entre Kong et Arthit n’a pas évolué d’un poil. Il y a une puissante atmosphère de malaise qui plane au-dessus de leur tête. Chaque fois qu’ils sont seuls, leurs dialogues sont platoniques, sans intérêt. Oui, ils sont parfois drôles, mais ces moments sont si rares que c’est impossible de s’attacher. Pas de câlins, pas de bisous, pas d’affection. On dirait un jeune couple encore gêné dans ses débuts, pourtant, après deux ans, les choses devraient être différentes! Je n’ai ressenti aucune chimie avant l’arrivée de l’épisode huit. D’ailleurs, qui n’a jamais vu une photo de son beau-père après tant de temps? Arthit ne connait même pas le nom de l’entreprise familiale de Kong. Heureusement que vers la fin, ça s’est amélioré.
Je vais peut-être me faire juger, mais j’ai trouvé le personnage de Kong TRÈS ennuyant. Soyons honnête, si l’acteur qui l’interprète n’était pas le très aimé Singto, est-ce que les fans l’aimeraient autant? Il n’a aucun trait de caractère original, aucune personnalité. Oui, c’est un bon gars. Et alors? Qu’est-ce qu’il y a d’autre? Arthit, de son côté, est très bien développé même si souvent, ses choix font grimacer. Il ne connait pas la signification du mot « communication ».
J’ai vraiment aimé l’histoire de Tew (Oaujun Korn) et Day (Fiat Patchata). Même si on ne les voit pas beaucoup, j’ai trouvé que c’était un ajout intéressant, car le personnage de Day est unique. Tout au long, l’on se demande ce qui s’est passé pour qu’il déteste à ce point les initiations. Je m’attendais à une explication poignante, originale, mais finalement, c’était d’une grande banalité. Quelle déception ! J’ai l’impression que ce duo a été mis de côté et finalement, ils n’ont aucun dénouement.
Mon « couple » favori a été celui de Yong (Guy Sivakorn) et Nai (Nammon Krittanai). J’ai trouvé leur développement très intéressant et Nai est le personnage auquel je me suis le plus attaché. J’ai aimé sa curiosité et sa façon de toucher à tout ce qu’il voit. Encore une fois, ils n’ont eu aucune fin et les spectateurs restent dans le néant quant à leur relation.
C’est quoi l’idée de développer des romances secondaires qu’ils ne finalisent pas ?! Même dans l’épisode de Our Skyy, on n’entend plus parler d’eux. C’est tellement décevant.
Bref, ce n’est pas mauvais comme série, mais pas génial. Je suis loin de regretter de l’avoir regardée. Est-ce que ça mérite d’être considéré comme un incontournable? Je ne crois pas.
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