Although at first the story moves slowly but I ended up liking the pace since the story was good the way it was told.
I really liked the deep bond the the Aio family have. Despite the flaws each character have, they each accept each other for who they are. There are misunderstandings but they always manage to be truthful to each other in the end. I really liked that part of the story. That's what a real family should be like in my opinion.
This drama showed the struggles each character had to face and how they overcame all of them by being there for each other.
This is simply such a sad yet very touching and beautiful story of a family.
The theme song for this drama Kizuna by Orange Range is really nice as well. While I was watching this drama, it kept playing in my head.
You don't necessary have to be a Narimiya Hiroki fan to enjoy this drama. This drama has a lot of good points. It is really worth watching.
If it will motivate you, Miura Haruma also has a cameo/small part in this show.
Overall, this drama is really worth watching.
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En attendant l'été
Quel intérêt d'exhumer un drama de 2005 alors que des caisses de nouveautés ou de remakes sont déversés chaque saison dans les médias japonais. Tout d'abord, c'est une recommandation de ma femme, grande lectrice des rares novels qui ont l'honneur d'arriver traduites jusqu'à chez nous. Le roman est de Ichikawa Takuji, sorti initialement en 2003, bientôt 20 ans, donc et traduit en 2014, suite au succès rencontré dans son pays. 11 ans d'attente quand même, malgré les mangas, film et dramas paru chez les nippons et ailleurs, avec plus ou moins de succès. Avant d'investir, enfin, dans la mise en avant de l'œuvre dans le pays de Marc Levy. On peut dire qu'on sait prendre notre temps. Pourtant l'histoire est simple, efficace et mainte fois vue ou adaptée dans et par le folklore japonais. Que des garanties de succès.L'histoire prend comme point de départ, la mort prématurée d'une jeune femme qui revient hanter son mari. Mais c'est une gentille fantôme, en la personne de Mimura Rie, 25 ans à l'époque, qui incarne parfaitement son personnage de maman revenue d'entre les morts pour tenir la promesse faite à son homme et son fils. Pour ceux peu habitués aux dramas des années 2000, ils trouveront la mise en scène assez datée, avec beaucoup de lenteurs et un encrage de notre héroïne dans un rôle de femme au foyer d'un âge pas si lointain puisque d'il y a à peine 20 ans. Attendant patiemment ses deux hommes rentrant du travail ou de l'école, en s'occupant gentillmeent des taches ménagères sans chercher à rentrer plus en contact avec d'autres. Alors oui, elle revient de l'au-delà, le temps de la saison des pluies (juin-juillet, une saison de drama, ils sont forts ses japonais), mais elle a perdu la mémoire. Ne sachant qui sont sa famille, reconnaissant à peine son mari et son fils. Elle doit tout réapprendre, mais de là à dire que c'est les taches ménagères qui vont lui remonter ses souvenirs ...
Mais bon, passé ses points négatifs qui ne l'étaient peut-être pas en 2000 dans les têtes des spectateurs cibles, on a affaire, pour le rester, à un grand drama mélodramatique ou tous les ingrédients sont réunis. Les personnages sont touchants, malgré une exagération de leur fragilité. Narimiya Hiroki en plus d'être beau donne surement envie de s'occuper de lui, tellement il fait peine à voir. Bon bien sûr son personnage tourne au ridicule quand il est incapable de courir après son bien aimé, alors qu'il fait des km chaque jour à vélo dans collines japonaises, en plein cagnard ou sous des torrents d'eau. Les scénaristes auraient dû relire la définition de souffle au cœur.
On a ensuite un Yuji-kun joué par un petit prodige de la comédie d'à peine 8 ans à l'époque en la personne de Takei Akashi, qui nous touche tellement par sa mignonnerie. Même si son côté, "je suis pote avec mon père" tourne là aussi au ridicule. OK ce gamin est japonais donc hyper en avance pour son âge, mais c'est le gamin idéal des magazines d'aide à la parentalité qu'on nous propose ici. On reconnait en second rôle quelques acteurs qui on fait quelque belles carrières, mais vous aurez du mal à trouver encore des premiers rôles dans des séries d'aujourd'hui. Ils sont pour beaucoup rangés des bouteilles, avec un peu de peine pour Takei Akashi qui n'a plus joué depuis 2015. Même les versions jeunes de nos héros n'ont pas vraiment percé dans le métier. Kurokawa Tomoka, la Mio de 15 ans, malgré ses rôles dans pléthore de dramas encore actuellement, ne fait que des apparitions ou des rôles très secondaires. Une sorte de malédiction, par manque de talismans de chance présents durant le tournage. Je vous invite donc à redécouvrir tout une génération d'acteur dont le jeu n'est pas du tout daté.
L'histoire est touchante, même si déjà vu 10x en drama et bien avant dans les légendes japonaises. Elle monte en intensité chaque épisode, avec une mise en scène astucieuse pour découper l'histoire. La photographie est belle, avec énormément de décors champêtres. Le vert étant la couleur dominante, saison des pluies oblige. Déjà tournée en HD à l'époque (oui, au Japon en 2004!) On appréciera les décors, comme les ruines, la maison tout en bois de nos personnages et cette forêt luxuriant. On révérât de faire partie de cette communauté où tout le monde vie avec le sourire. Le médecin vient vous voir à la bibliothèque. La bibliothèque vient vous voir devant les écoles. Bref un monde disparu. Avec bien sur ses fêlures que chaque habitant porte (perte d'un enfant, impossibilité d'en avoir, ou amour à sens unique) et qui font le sel de ses personnages loin des problèmes de la ville, mais pas de la vie.
Vous apprendrez la tradition des teru teru bōzu ses poupées qui sont censée chasser les nuages et qui ont un rôle primordial aussi dans le découpage de l'histoire. Il faudra que je me penche sur l'adaptation en film sortie un an avant pour ressentir au mieux les différences avec le livre, car j'ai trouvé l'idée fantastique et elle fait vraiment ressentir la tension montante d'un épisode à l'autre. Les différences semblent nombreuses quand même (il y a peu de chance que je lise le livre, alors pourquoi pas film).
La musique, m'a semblée trop datée aux premières notes, mais elle s'est vite révélée addictive et extrêmement bien adaptée, aux hectolitres de larmes que vous commencerez à verser après vous être attachés aux personnages. Et vous allez vous y attachez. L'Ending peu connu et tout en douceur et en Koto d'Orange Range m'a fait redécouvrir ce groupe de Rap plutôt hardcore qui comme beaucoup d'entre vous était resté le simple, mais inoubliable compositeur de l'Opening de Bleach.
Pour ceux qui ne connaissait pas l'histoire les mystères seront révélé dan s le dernier épisode que l'on attendra avec curiosité, mais aussi crainte comme Mio à la recherche de ses origines sachant pertinemment ce qu'elle risque de perdre en découvrant la vérité. La satisfaction de savoir, mais la frustration de la fin d'une belle histoire.
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