Esta resenha pode conter spoilers
Seiren no zange tackles the complex nature between the media, police and the public. The show tries to throw you off on who is responsible for the given crime; however, the story quickly became predictable. A similar story pattern could be found in a related genre as this one.
While watching all four episodes, it reminded me of how it closely reflects on our current society. Our source of news is flooded with false media and information. Information that tends to jump to conclusions for the sake of benefiting the media workers, not for the victims. The drama series presents this very directly and how their actions could worsen the situation rather than making it better. For example, false accusations via SNS (social media outlets) could cause a psychological impact on a person and change their social life. However, spreading 100% of the truth does not also benefit the victims, as mentioned in the drama. The reasons behind the media's actions were clearly explained in a documentary series called the social dilemma. I thought it was an interesting insight.
Minor Spoilers:
Although the drama series is short with limited development of the characters, it at least tells a clear and somewhat intriguing story. The main message of this series is that there is no black or white pattern or complete good and bad. Majority of the characters were portrayed as a mix, making you reflect on how our 'actions and 'words' affectively cause a scar on our lives.
Overall, the performance is mostly centred on our FL, portrayed by Araki Yuko. She had a strong presence, and although I haven't seen any of her other work, I believe she left a promising impact. The other performances from the victim to the supporting felt slightly average. The music selections were minimal; however, it suited the tone of the story. From my perspective, I wouldn't go back and rewatch this show due to my taste in enjoyment, leaning towards action and comedy genres.
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Breaking / News - les infos qui font mal
Les dérives des médias japonais, voilà ce que "Seiren no zange" veut dénoncer et je dois dire que c'est plutôt bien réussit. Alors que le pitch de départ est des plus classiques, pour un thriller qui se veut sérieux. Harcèlement d'une jeune fille qui conduit à sa mort, on suit l'enquête à travers les yeux d'une jeune journaliste vénère et de son compère bourré de testostérone. Loin donc des dramas comico-mystery...ques, que j'affectionne tant.Dans cet univers adulte et malsain, les personnages transpirent de défauts et les pires caractères humains ressortent. Mention spéciale au chef du service reportage-investigation. Dommage que les trais des jeunes loubards soient un peu trop forcés, comme souvent dans ses séries, on a du mal à faire dans la dentelle avec les exclus, volontaires ou non de la société japonaise. Jetés en pâture à la vue de tous par des médias en quête de sensationnalisme, on accentue de manière voulu ou non leur non-conformité. L'actrice principale en quête de justice, nous plonge dans ses doutes face à son métier et montre, certes avec moins de subtilité que le film "l'infirmière" de Fukada Koji, à quel point les médias et les réseaux sociaux ont le pouvoir de faire l'opinion. Véritable cancer de nos sociétés modernes et du Japon en particulier, c'est une série à montrer à ceux qui imagine encore que le japon reste le pays le plus paisible au monde où il fait bon vivre." Pas de criminalité, les gens sont si gentilles, etc ...". Avec une musique épique (un peu trop peut-être) je n'ai qu'un seul bémol à ma critique plutôt positive. 4 épisodes c'est trop long pour une enquête de ce type, mais c'est bien trop court pour le sujet des médias. J'attends avec impatience une nouvelle saison, le sujet étant vaste, la production et les acteurs étant à la hauteur. Et peut être qu'on verra enfin sourire Araki Yuko cette fois.
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